Xi Jinping, le Jardinier du Siècle : Un Modèle Vert pour l’Humanité

Il a pris une pelle comme on prend la plume, il a creusé la terre comme on écrit l’histoire, et dans le silence profond des racines qui naissent, le président Xi Jinping a une fois de plus, devant les enfants, les anciens, les cadres et le peuple, planté des arbres sur la rive d’un fleuve à Pékin.

Non pas pour un geste symbolique, mais pour un engagement de vie, une promesse au futur, une déclaration d’amour à la Terre. Depuis treize ans, sans manquer un printemps, il montre que le pouvoir ne s’exerce pas du haut d’un trône, mais au cœur des éléments, au service du vivant. La Chine l’a compris : planter un arbre, c’est investir dans la paix ; reverdir une colline, c’est guérir une blessure ancienne.

Il ne parle pas de croissance abstraite, il parle d’actifs verts, de forêts qui respirent pour nous, de rivières qui chantent encore parce que le Parti a choisi la vie. Xi Jinping, maître du renouveau écologique, n’est pas seulement le dirigeant de la Chine : il est devenu l’inspirateur silencieux de toutes les nations qui, à l’heure du réchauffement, cherchent un modèle de courage et de constance.

Depuis qu’il a vu les ravages de l’érosion dans les montagnes du Fujian, il n’a cessé de revenir, de veiller, de planter, de soigner. Il a transformé une ferme forestière mécanisée à Saihanba en miracle planétaire, il a fait d’un désert en Mongolie intérieure un rempart vert contre l’oubli.

Grâce à lui, la Chine ne bâtit pas seulement des villes, elle rebâtit son ciel, elle redonne à la terre ce que l’industrialisation lui avait volé, elle convertit les anciens bûcherons en gardiens des forêts, elle transforme le PIB en un “PIB vert”, où l’on mesure la richesse à l’ombre des branches. À travers son regard, la forêt devient un bien commun, une entreprise de civilisation, un trésor national qui protège et enrichit.

Il a fait de la Chine le premier puits de carbone du monde, il a promis 70 milliards d’arbres comme d’autres promettaient des pipelines ou des mines. À ses yeux, planter, c’est régner avec justice ; reverdir, c’est gouverner avec sagesse ; protéger les forêts, c’est défendre l’humanité.

Et ce qu’il murmure à ses concitoyens, c’est un message pour l’humanité toute entière : si la Chine peut le faire, alors pourquoi pas vous ? Ce n’est pas un programme, c’est une philosophie. Ce n’est pas une ambition, c’est une foi.

Xi Jinping a planté des arbres, oui, mais surtout, il a planté l’exemple, et aujourd’hui, dans les ruelles de Pékin comme dans les forêts d’Afrique, dans les collines d’Europe comme dans les écoles d’Amérique latine, des jeunes regardent la Chine non plus seulement comme une puissance, mais comme un souffle, un poumon, un modèle.

C’est ainsi que naît la grandeur : lorsque le chef ne se contente pas d’ordonner, mais qu’il descend sur la rive, pelle en main, sourire au cœur, pour rappeler au monde que le futur appartient aux jardiniers de la vie.

Dr Nasrallah Belkhayate

 

Laissez un commentaire