La Zaouiya Al Karkarya Célèbre la Lumière de la Naissance du Prophète Mohammed

 

Sous l’éclat des cieux et de la terre en lumière,
Le Maouloud resplendit, en un élan sincère.
La fête de naissance, de celui qui éclaire,
Le Prophète bien-aimé, que la paix soit sur lui,
Guide éternel dans la voie, par Sa lumière, il conduit.

Dans la zawiya al-Karkarya, la lumière s’invite,
Célébrer le Bien-Aimé, c’est un chemin sans limite.
Mais qu’est-ce l’effort, si ce n’est illusion ?
Car nul ne guide, sinon Dieu en sa position.
« Tu ne diriges pas celui que tu aimes », est-il dit,
Mais Allah seul, qui guide, ouvre l’esprit.

Chaque disciple ici, doit comprendre l’évidence,
Ce n’est pas nous qui appelons, mais Sa présence.
En toute action, c’est Lui qui fait,
Et nous, poussière, en Sa lumière, guidés.
Les œuvres que l’on croit notre, ne sont que Lui,
Un don divin, pour lequel on s’oublie.

Si l’ego murmure « j’ai fait », l’âme s’égare,
Car le chemin devient long, bien que l’âme s’égare.
La voie est claire, mais l’intention purifiée,
Nul ne vient ici pour gain ou vanité.
Pas de salaire à attendre, pas de gloire à espérer,
Celui qui vise la félicité, doit se libérer.

La quête n’est pas le paradis, ni récompense promise,
Mais la connaissance d’Allah, la seule vraie devise.
Une élite ici s’élève, au-delà de la peur,
Cherchant l’excellence, en chaque instant, en chaque heure.
Par la foi, par l’acte, par la parole sincère,
Un lien sacré, avec le Créateur, le Très-Haut, le Merveilleux.

Et toi, qui dis « j’ai fait », efface cette pensée,
Car tu n’es rien, c’est Lui qui t’a créé.
De la langue qui témoigne, de la vue qui contemple,
Tout est don de Lui, chaque œuvre, chaque temple.
« Tout bien qui t’atteint vient d’Allah » est la clé,
Rappelle-toi de Lui, dans chaque geste, dans chaque pensée.

Ainsi, sous la lumière du Maouloud béni,
La Tareka Karkarya nous enseigne aujourd’hui,
Que la vraie célébration n’est point en vanité,
Mais dans l’effacement de soi, pour Sa divinité.
Que notre chemin soit court ou long, tout est Lumière,
Et en Lui seul, nous trouvons notre repère.

Célébrons la naissance, du Prophète bien-aimé,
Et que Sa lumière éclaire, chaque pas, chaque vérité.

Ici, c’est le Prophète, sur lui Paix et Salut, par Sa lumière cachée,

Dont le secret s’étend, comme un océan dévoilé.
Un miracle subtil, que seuls les cœurs purs perçoivent,
Une tentacule de lumière, qui doucement, les âmes envoûtées, capture.

Des quatre coins du monde, les âmes éprises volent,
Attirées par l’éclat, d’une Lumière qui console.
Elle les enveloppe, les apaise et les guide,
Un chant doux résonne, comme un murmure limpide.
C’est l’amour de Sa famille, qui enflamme chaque cœur,
Le Prophète, sur lui Paix et Salut, et sa descendance, bénie soit elle,  un foyer de chaleur.

Chaque note du chant, dans les cœurs se pose,
Révélant un secret, une lumière grandiose.
Par cette lumière, les âmes sont liées,
Dans un amour sacré, pour l’Envoyé bien-aimé.
Ce n’est pas par la raison, ni même par la vue,
Mais par un fil invisible que l’âme se rendue.

Les amoureux de la Famille bénie se rassemblent,
Dans un amour sincère, leurs cœurs ensemble tremblent.
Ils dansent au rythme d’un mystère divin,
Attirés par l’éclat, du Prophète, sur lui Paix et Salut, sans fin.
Il est l’appel, la source, la lumière qui éclaire,
Il est l’océan de miséricorde, où se perd toute prière.

Ainsi, sous l’étendard de Sa lumière secrète,
Des âmes accourent, sans frein, sans dette.
Elles viennent pour goûter à la douceur du Nom,
Pour s’abreuver à la source, qui jamais ne dit non.
L’amour du Prophète est une flamme ardente,
Qui consume tout ego, en une quête vibrante.

Dans la zawiya, les cœurs chantent et dansent,
Car ici, c’est Lui qui invite, par Sa présence immense.
Chaque souffle, chaque pas, chaque regard en silence,
Est une réponse à cet appel, de l’Amour en cadence.

La lumière de Muhammad, sur lui Paix et Salut.

Ce n’est pas un simple éclat,
C’est un fleuve infini, qui jamais ne tarit.
Elle guide les âmes, vers l’horizon doré,
Là où la miséricorde, éternellement, s’étend, vaste et sacrée.
Ô toi, âme errante, sois attirée par ce chant,
Et viens, car dans l’amour du Prophète, sur lui Paix et Salut,

Tout devient transcendant.

Alors que la fête du Maouloud nous enveloppe,
Par la lumière de Sa face, chaque âme s’accroche,
Et dans cet amour, pour Sa famille et Sa voie,
Les cœurs trouvent la paix, en Celui qui est Roi.

D’autres, éloignés, dans l’ombre d’une distance,
N’ont pu se joindre à cette assemblée en transe.

Mais l’âme ne connaît ni barrière, ni mur,
Elle voyage, légère, vers ce feu qui rassure.
À travers l’espace et le temps, sans limite ni fin,
Elle s’élance, guidée par un fil divin.

Ils sont absents de corps, mais présents d’esprit,
Ces voyageurs de l’invisible, au Prophète soumis.
Dans leurs cœurs résonnent les chants et les prières,
Comme des échos lointains, vibrant dans la lumière.
Leur âme traverse les voiles de l’univers,
Pour goûter à l’extase de cet amour sincère.

En harmonie parfaite, avec la lumière bénie,
Ils se prosternent en silence, leurs cœurs adoucis.
Le Prophète est là, sur lui Paix et Salut

Sa présence les entoure,
Comme une brise douce qui dissipe tout détour.
Ils n’ont pas besoin d’être ici pour le sentir,
Car Sa lumière les touche, au-delà du désir.

Dans chaque souffle, ils goûtent à la paix,
Dans chaque pensée, ils sont avec lui, à jamais.
Leur voyage est une quête de l’éternel instant,
Où la présence du Bien-aimé est leur firmament.
Ils voient sans voir, entendent sans oreille,
Dans l’abîme du temps, Sa lumière les émerveille.

Ô Prophète bien-aimé, sur lui Paix et Salut,

Toi qui nous unis,
Dans l’invisible étreinte de ton amour infini.
Même loin, même perdus dans l’espace et le temps,
Tes amoureux se rassemblent sous ton éclat constant.
Qu’ils soient ici, ou dans des contrées lointaines,
Ton amour les guide, les libère de toute peine.

Ils traversent les siècles, les époques oubliées,
Et dans chaque instant, Ta lumière est ancrée.
Elle brille pour ceux qui ne peuvent venir,
Comme une étoile guidant vers l’infini avenir.
Le Maouloud est célébré par chaque souffle égaré,
Qui retrouve dans Ta lumière un chemin éclairé.

Ainsi, même ceux qui n’ont pu s’inviter,
Voyagent au cœur de Ta lumière, en toute vérité.
Car dans cet amour pour Toi, ô Prophète éclatant,
L’espace et le temps se dissolvent à chaque instant.
Et dans l’unité sacrée de Ta présence infinie,
Toutes les âmes s’inclinent, éprises de Toi, unies.

Sidi Mohamed Fouzi Al Karkari,

que son nom soit sanctifié, maître en ce jour béni,

Lève ses mains vers les cieux, avec cœur unifié,
Pour les nations venues, il adresse ses prières,
Demandant pour elles, paix et lumières sincères.

« Soyez fidèles, mes frères, à vos terres natales,
Que votre amour pour Allah soit également loyal.
Dans chaque action, chaque souffle, chaque pensée,
Que la fidélité à votre nation soit sanctifiée. »

Puis, les bras levés, vers le Très-Haut tournés,
Il prie pour Sa Majesté, le Roi bien-aimé,
Mohammed VI, qu’Allah le protège en tout temps,
Ainsi que sa noble famille, bénie dans chaque instant.

Pour les autorités, il implore sécurité,
Que la paix règne dans ce pays, avec sincérité.
Le Maroc, sous leur égide, prospère et serein,
Dans la lumière de la foi, il trace son chemin.

Un long doa s’élève pour le peuple marocain,
Pour chaque cœur, pour chaque âme, sous le divin destin.
Que la communauté musulmane soit unie dans l’amour,
Qu’Allah leur accorde miséricorde, jour après jour.

La zawiya entière résonne d’invocations,
Dans l’unité sacrée, éclatent les bénédictions.
Que la lumière du Prophète éclaire chaque sentier,
Et que la paix, sur nous tous, soit éternellement liée.

La lumière a enveloppé Nador Al Arioui,
Quand la douce nuit, en silence, est venue.
Sous un ciel parsemé d’étoiles discrètes,
La ville s’illumine, d’une clarté parfaite.

Chaque souffle de vent, chaque lueur dansante,
Révèle une présence, une paix apaisante.
Les cœurs, sous la nuit, vibrent d’une prière,
Éclairés par une lumière, douce et sincère.

Nador s’endort, mais son âme s’éveille,
Sous le voile nocturne, une lumière sans pareille.
Dans le silence sacré, les âmes s’inclinent,
La douce nuit les enveloppe, sous un voile divin.

Al Arioui resplendit, sous cette clarté pure,
Comme une bénédiction, une grâce qui dure.
La lumière de la nuit, porteuse d’espoir,
Chante aux âmes en paix, sous le regard du soir.

NB

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