La Fondation Trophée de l’Africanité reçoit la Médaille d’Honneur Icomos Maroc -Unesco
La Fondation Trophée de l’Africanité a attribué mardi soir, à Marrakech, les Trophées de l’Africanité de cette année à sept personnalités marocaines et étrangères lors de la cérémonie d’ouverture officielle de la 19e Assemblée générale annuelle (AGA) du Conseil international des monuments et des sites (Icomos International).
A travers ce trophée, Prix inédit en Afrique, la Fondation témoigne sa reconnaissance et son soutien aux initiatives et événements qui contribuent au développement social, culturel, humain, sportif, financier et économique.
Pour sa 13 iéme édition, la Fondation a attribué ce prix au ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, représenté par Omar Driess délégué régional de ce même ministère au nouveau ministre de la Culture de la Jeunesse et des Sports , Hassan Abyaba, représenté par Abdelouahed Ben-Ncer directeur de l’INSAP (L’Institut National des Sciences de l’Archéologie et du Patrimoine ) , le Wali de la région Marrakech-Safi, Karim Kassi-Lahlou, le président du Conseil d’administration de Icomos International, Toshiyuki Kono, le directeur général de la CDG, Abdelatif Zaghnoun, le président du groupe Al Omrane, Badr Kanouni, et enfin le président d’Icomos Maroc, Abdelati Lahlou.
Lors de cette cérémonie, un hommage a été rendu à la Fondation Trophée de l’Africanité pour son soutien à la cause du patrimoine et une médaille d’honneur lui a été remise par le président du Conseil d’administration de Icomos International, Toshiyuki Kono.
La Fondation a aussi dévoilé son projet consistant en la création d’un Centre africain des manuscrits qui vise à préserver le patrimoine écrit africain.
Pour rappel, la Fondation Trophée de l’Africanité se veut un hommage aux valeurs humaines africaines de la diplomatie culturelle ou socio-économique, permettant de lutter contre la pauvreté, l’obscurantisme, la précarité, le chômage, la migration clandestine et l’exclusion sociale.
La Fondation encourage le dialogue inter-religieux, la justice économique, la diplomatie culturelle, l’excellence en leadership, l’inclusion financière, l’innovation, la bonne gouvernance, l’autonomisation des femmes, la liberté d’expression, la recherche de l’indépendance économique, le développement durable, le patriotisme panafricain, la solidarité entre les populations du monde africain, la fierté des valeurs africaines par la réussite individuelle ou collective et l’authenticité culturelle.